DOCUMENTAIRE - MUSIQUE - INDIE

Verrine goût de tripes, c’est la marge qui s’invite dans la lumière ; la modestie d’un plat de tripes face à la prétention d’une verrine: un artiste par émission dont le parcours est illustré par quelques morceaux ainsi qu' une reprise en fin d’émission.

Troisième épisode de Verrine goût de tripes, une émission produite sur Rayvox et en co-diffusion avec la radio Raje.

Aujourd’hui j’ai souhaité faire appel à une artiste « en marge de la marge », tellement elle a non seulement exploré de territoires d’expression différents, chanson, poésie, films, mais aussi les a explorés pour ne pas dire poussés le plus loin possible au bord des limites et même au-delà… La chanson, d’accord, mais à l’avant garde du spoken word, le combat féministe d’accord, mais en donnant dans une liberté de l’esprit autant que du corps.

Verrine goût de tripes est consacrée aujourd’hui à l’artiste Lydia Lunch.

Remerciements : Les infos et l’écriture de cette émission sont tirés de l’ouvrage « Underground » avec l’aimable autorisation de l’auteur. Livre de Arnaud Le Gouefflec et illustré par Nicolas Moog, paru chez Glénat.

Contact :
verrinegoutdetripes@gmail.com


1 – Lazy in love
2 – Lady scarface
3 – Love, life and money
4 – Heartattack and vine
5 – Boy meets girl
6 – Swamp
7 – Mechanical Flattery
8 – Love split
9 – Motor oil shanty
10 – Innocence
11 – Death valley 69
12 – Frankie Teardrop
13 – Boy/girl
14 – Boy/girl (reprise par Jenny Beth et Julian Casablancas)

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